Une cérémonie funéraire est souvent organisée en hommage au défunt mais également réconfort aux vivants. On y suit une sorte de rituelle permettant aux membres de la famille de se recueillir suite à la perte de leur être cher. Considérée comme un dernier devoir envers la personne décédée, une cérémonie funéraire est importante pour les individus conviés à y assister.

Juste après le décès

Généralement, la famille qui a subit la séparation en question, confie l’organisation des obsèques aux pompes funèbres. En ce cas, le transport du corps après son décès (quelques soit le lieu) est attribué à ces derniers. Quoi que vous décidiez (se charger de la cérémonie vous-même ou user d’un organisateur), faire passer l’information est indispensable. Aussitôt que le décès fut prononcé, il faut tout de suite penser aux faire-part : les faire et les envoyer. Pour limiter les risques que des personnes parmi vos proches n’aient pas été prévenues, les avis de décès paraissent dans les journaux. Ainsi vous pouvez mettre tout le monde au courant. De l’autre côté, si vous faites partie des amis de la famille ou du défunt, instantanément, une carte de condoléances ou un petit mot écrit à la main en guise de sympathie est très préférable. Également, aidez autant que vous pouvez ; l’organisation est souvent dure. Vous pouvez bénéficier de plus d’informations sur le sujet en visitant www.guide-deuil.com.

Le déroulement des cérémonies

La cérémonie d’adieu se fait habituellement en deux étapes. D’abord la cérémonie civile. Celle-ci qui se réalise dans une salle spécifique (hors de l’église et des édifices religieuses), où un maître de cérémonie reçoit les différents invités et dirige le déroulement de toute la cérémonie. En guise de souvenir, le silence est accompagné de la diffusion de quelques photos en mémoire de la personne décédée. Ensuite, une cérémonie religieuse, comme son nom l’indique dépend de la religion que suit le défunt ou sa famille. Dès fois, un discours est prononcé par chaque membre de la famille, en honneur à la dépouille, reconsidérant une dernière fois les bons moments passés. Le lieu varie selon les croyances (l’église ou espace funéraire pour les chrétiens, veillée coutumière pour les musulmans et se passe directement au cimetière pour les juifs). Après ces cérémonies, a lieu l’inhumation ou la crémation selon le cas. La famille peut user d’une porte-parole et diffuser les musiques préférées du défunt suivies d’un recueillement en silence et des remerciements après l’enterrement. Plusieurs opteraient pour les bouquets de fleurs ; dépendant de l’opinion de la famille. D’autre part, la crémation (activité qui consiste à mettre en cendre la dépouille) est souvent non assistée et se pratique uniquement dans les centres mortuaires agrée par l’Etat. Après l’incinération, les cendres vous sont procurées dans une urne (vous avez le choix entre les garder chez vous ou les disperser dans la nature qui est en générale l’endroit le plus fréquenté par le défunt de son vivant). Il faut savoir que tout ceci n’est nullement obligatoire. Certains n’organisent aucune cérémonie, conforme à la demande du défunt.

Ce qu’il faut savoir après l’enterrement

Très associé à la souffrance, le deuil provoque quelques fois un bouleversement émotionnel et psychotique chez la personne dite « en deuil » et peut durer longtemps après les funérailles. En conséquence, l’annonce du décès a provoqué en premier lieu un coup dur pour l’individu endeuillé et rassurez-vous, c’est normal. Faire son deuil est une phase difficile à passer. Il est tout à fait possible que vous mettiez beaucoup de temps à accepter la situation. De là, un excès de colère peut vous traverser et se caractérise par la confrontation à la vérité, la culpabilité ou la recherche d’un responsable. Visant la réalité en face, la personne en question passe une étape dépressive. Prendre conscience de la perte dans un délai (long ou court selon la personne) qui aboutit enfin à l’acceptation et l’adoption des faits. Généralement, une bonne compagnie fera effet sur la personne endeuillée et limite les risques de maladies physiques et psychiques.